Livre d'or Confidences au soir d'une vie

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Cher Monsieur Lemaire,

A cause du confinement, votre livre, que j’avais acheté lors de sa sortie, était resté à Antoing chez l’un de mes frères. Il me l’a remis samedi dernier.

Ce fut un vrai bonheur de le lire !!!

J’avais sept ans en 1940 et je me souviens très bien du premier jour de la guerre, de l’avion allemand abattu l’après-midi du même jour (qui n’est pas relaté dans le livre mais tellement présent dans mes souvenirs), de l’évacuation avec ma famille vers la France.

Ce souvenir de l’encerclement de Péronnes « Petite Moscou » est toujours dans ma mémoire et je l’ai déjà bien souvent raconté à mes petits-enfants. Avec des condisciples de l’Ecole des Sœurs d’Antoing, nous rentrions chez nous lorsque nous avons dû nous réfugier dans la première maison de Péronnes et attendre la fin de l’encerclement.

J’ai bien connu Monsieur Georges Leroy et sa famille qui étaient presque des voisins.

A la page 19 de votre livre, c’est ma maison à gauche tout au début.

Je tenais à vous remercier d’avoir écrit ce livre tellement vrai, poignant et décrivant si bien les situations vécues.

Mille mercis.

Andrée De Groote - DELARSILLE

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Bonjour Monsieur Lemaire

Honneur soit rendu à Georges Leroy "Grand Homme" parmi tant d'autres de sa génération connus et inconnus. Il incarne l'héroïsme patriotique des années de guerre 40/45; celui-là même souvent oublié par notre société du tout pour soi.

"Confidences au soir d'une vie". Impressionnante biographie d'un villageois de ma génération. Fabien Lemaire nous plonge dans la vie rurale d'une famille du milieu du 20è siècle; famille discrète en qui je voue toute mon admiration.

Émouvante lecture, miroir du parcours du prisonnier, des souffrances de ses proches et des Anonymes qui ont sacrifié 5 ans (plus pour certains) de leur jeunesse, de leur vie familiale et sociale, de leur santé physique et psychique, marqués d'une encre rouge indélébile.

Leurs descendants en portent encore les cicatrices. Preuve en est, les souvenirs de Georges Leroy nous confie ce jour par la plume de son frère spirituel. L'auteur a le verbe juste, précis, profond, transpirant d'humanité, de respect.

Son langage nous est bien connu. On le lit, le relit, découvrant à chaque paragraphe une touche inexplorée teintée de discrète complicité. Merci Monsieur Lemaire pour l'enrichissement historique et littéraire que vous nous communiquez.

Lecteurs qui découvrez ce livre, offrez-le à vos enfants; enseignants, offrez-le à vos élèves et étudiez-le en classe. Hausser le savoir des jeunes, élever leur esprit, sensibiliser leur reconnaissance envers nos soldats du front ou de l'ombre défenseurs muets de nos libertés présentes et futures. C'est un "Devoir". Georges Leroy, à votre âme j'envoie toute ma gratitude.

A l'exemple de l'auteur de cette biographie, nourris de l'espoir qui animait nos Héros, faisons nôtre cette espérance dans un avenir positif, un quotidien de paix et d'amour.

Au plaisir de découvrir un quatrième livre...

Une fidèle lectrice.

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Bonjour M. Lemaire,

Je vous avais écrit dans mon mail d'hier que j'avais lu votre préface et le premier chapitre de l'enfance de Georges Leroy.

Hier soir, j'ai poursuivi et ... je n'ai plus lâché votre livre jusqu'aux petites heures ... Oui, j'ai été embarqué par cet homme hors du commun, par son histoire et lorsque je suis arrivé au chapitre de papa, je l'ai lu, simplement, dans la continuité du récit de Georges mais quel fierté, pour moi, que son journal se soit inséré dans cette narration historique mais, surtout, surtout, humaine!

Et de croire que, peut-être, ils se sont croisés à Toulouse!?

Merci M. Lemaire pour ce livre d'une grande humanité.

Souvent dans les médias, on fait des émissions sur des ''grands'' hommes mais il y a bien de ''petits'' hommes inconnus de notre monde qui sont, dans le fond, bien plus ''GRANDS'' par la beauté humaine de leur vie et qui sont bien, à des égards, des exemples formidables pour les générations futures.

C'est grâce à des écrivains historiques comme vous que la mémoire de certains de ceux-ci est retranscrite et, au travers d'eux, tous ces oubliés afin qu'ils rentrent dans la bibliothèque de l'histoire, à jamais!

Merci aussi pour le chapitre 3 ''L'exode vers les centres de recrutement de l'armée belge'' qui m'a enlevé un poids; celui de comprendre le pourquoi du départ de papa, comme Georges Leroy, en exil car, au fond de moi, j'avais encore ce doute que le départ de papa était une fuite ... par peur?

Et bien non, quel soulagement car c'était une obligation mais qui, probablement a sauvé la vie de beaucoup malgré un parcours difficile mais qui m'a permis, probablement, d'avoir ce père que j'ai aimé, que j'ai apprécié par ce qu'il était!

Il y a, indéniablement, des traits de caractères et de valeurs entre ces deux Hommes.

Votre livre dégage une magnifique Espérance et dans cette période ô combien difficile, elle est une lumière qui scintille au bout du tunnel et tellement symbolique en ce temps de Noël, si proche.

Au travers de Georges Leroy, on perçoit tout ce que l'homme a de merveilleux: l'amitié, la fidélité, la, bonté, la générosité, la sincérité, la volonté, la créativité, l'abnégation, l'espoir, la Foi en l'humain mais aussi à quelque chose qui nous dépasse et, bien sûr, les valeurs familiales ... Tout cela réunit par un seul mot ''L'AMOUR'' (même si, évidemment, comme tout un chacun, il avait ses défauts et, heureusement). Je comprends parfaitement pourquoi c'est devenu votre frère, votre frère de cœur, oui de cœur!

Dans le livre de Joël Dicker ''L'énigme de la chambre 622!'', à la fin de son roman; il écrit ceci: '' Où vont les morts? Partout où l'on peut se souvenir d'eux. Surtout dans les étoiles. Car elles cessent de nous suivre, elles dansent et brillent dans la nuit, juste au-dessus de nos têtes.'' L'Amitié, l'Amour ne s'oublient jamais et, certainement, c'est par cette Espérance que Georges Leroy a tenu sa promesse.

Vous ne manquerez pas de remettre à ses deux filles: Annie et Colette, toute mon affection et mon estime d'avoir pu lire le récit de leur formidable père et, aussi, toute la fierté que j'ai pu ressentir par le fait que le journal de papa ait pu compléter et renforcer le chapitre de son exil en France.

Et pour conclure M. Lemaire,

''Rien, presque rien, juste un MERCI,

Un MERCI de reconnaissance pour votre livre,

Un MERCI qui réjouit et fortifie par l'humanité de celui-ci au travers du récit de Georges Leroy,

Juste un MERCI!''

Bon dimanche à vous, votre épouse et votre fille,

Avec toute ma gratitude,

Bien cordialement,

M. Boucquéau Christian

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A la famille de F. LEMAIRE. Ce livre est une création artisanale brillante d'un auteur indépendant, profondément attaché aux valeurs humaines de cordialité et de fraternité. Un contenu et un texte agréables, une documentation abondante, le goût du terroir, le plaisir de raconter une vie de travail à travers les souffrances d'une existence. Offrez-le, offrez-le vous! Nous avons moins de réunions familiales, moins de contacts sociaux et donc plus de temps pour soi, pour lire. Bravo à vos proches et à vous, Mr Lemaire.

Jean-Claude Gois.

Je viens de finir la lecture de votre dernier livre , quel parcours de vie pour Georges , il faut dire aussi que votre prose est hyper bien documentée . La page de couverture est particulièrement bien choisie , le soleil couchant et cet arbre dénudé de ses feuilles avec son tronc droit comme un fût il ne peut s'agir que d'un hêtre ou mieux encore un chêne. Merci pour la dédicace, Cordiales salutations .

E. Nef

Bonjour Fabien,

Je viens de terminer la lecture de ton magnifique ouvrage «Georges Leroy-Confidences au soir d’une vie ». Comme tes deux livres précédents, ce parcours de ton « Frère » Georges Leroy m’a beaucoup intéressé. Je me permets de t’adresser très simplement mais très sincèrement toutes mes chaleureuses félicitations pour ce magnifique « Travail de mémoire » qui t’a certainement demandé de nombreuses heures de recherches historiques diverses, de discussions, d’écoute de témoignages et de travail de mise en page.

J’ai beaucoup apprécié ton récit car non seulement il est très précis et très bien écrit comme le sont tous tes ouvrages mais cette fois-ci, en plus, je me suis « retrouvé » à peu près dans chacun des chapitres que tu as abordés. Voilà pourquoi j’ai pris beaucoup de plaisir à lire et même à relire ce périple exemplaire de ton « Frère » Georges. Espérons que beaucoup de jeunes pourront en tirer quelques leçons… ! Et j’espère que ce n’est pas ton dernier livre car je suis déjà candidat acquéreur du prochain… !

Avec la réitération de mes vifs remerciements et félicitations et mes sentiments cordiaux les meilleurs.

Francis Deleuze

Bonjour Monsieur Lemaire,

J'ai lu ce livre avec énormément de plaisir ! Il m'a éclairé sur un certain épisode de la vie de mon père. En 1940, celui-ci était officier de réserve et a été appelé pour cette guerre de 18 jours puis a été envoyé dans les Pyrénées d'où il a été démobilisé. Il est remonté en Belgique avec d'autres officiers dont certains avaient une voiture. J'avais 5 ans à l'époque.

Les années ont passé, mon père est décédé à 60 ans et en vieillissant je me suis toujours demandé ce qu'il avait été faire là-bas et c'est là que votre livre m'a éclairé et je vous en remercie beaucoup.

Mon père a été rappelé aussi fin de l'année 45 et est parti en Irlande à Belfast. Je me posais aussi des questions et j'ai appris dernièrement par un professeur de l'Ecole Royale militaire que c'était pour former les troupes d'occupation en Allemagne.

Je vous félicite pour ce livre et vous en remercie car personnellement il m'a apporté beaucoup.

Avec mes sincères salutations.

J. Delattre